Produire de l’énergie
Réduire la facture énergétique des habitants et tendre vers une autonomie grâce à des bâtiments neufs et réhabilités. Les panneaux photovoltaïques et les toits végétalisés (1*) couvrent une partie de la consommation énergétique des immeubles. En effet, la Cité des arts (2*) , complexe culturel de la ville de Saint-Denis à La Réunion, est en partie autonome. Son équipement photovoltaïque couvre 40 % de ses besoins en énergie. Le groupe scolaire Simone-Veil de Nétreville à Évreux (3*) est un bâtiment à basse consommation énergétique grâce à ses locaux écoconstruits (label Passivhaus).
* les numérosrenvoient à l'illustration ci-contre
Développer les mobilités douces
Grâce à la création de transports en commun adaptés (tramway, bus, pistes cyclables), les habitants gagnent en mobilité, et utilisent des modes de déplacement doux pour limiter la pollution de l’air (4*) . Des ateliers de réparation de vélos solidaires, tels que Bicyclo à Saint-Denis, ont également un rôle majeur dans cet enjeu.
* les numérosrenvoient à l'illustration ci-dessus
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Soutenir l'économie circulaire
Récupérer et réutiliser pour limiter le gaspillage des ressources, la production de déchets et par conséquent la consommation. Les maisons du réemploi (5*) , telles que celle du quartier du Plateau de Haye à Nancy, récupèrent les matériaux des bâtiments déconstruits, sensibilisent au réemploi et permettent l’emploi solidaire. Les ressourceries (6*) permettent de consommer durablement, de limiter les déchets et de faire de la réinsertion par l’emploi. À Val-de-Reuil, un parking vacant sera reconverti en ressourcerie. Gestion des déchets locale et circulaire (7*) : un cheval récupère les biodéchets du quartier et se dirige vers une cellule de compostage. Existe à Stains.
* les numérosrenvoient à l'illustration ci-dessus
Végétaliser les quartiers
Remettre de la nature au cœur des quartiers : une solution durable face aux changements climatiques, créatrice de lien social. L’implantation d’une micro-forêt (8*), comme au pied des tours d’habitation à Sens, crée un écosystème stable, résilient et rend la ville plus agréable. Les sols désimperméables (9*) mis en place à Marseille feront office de « climatiseur » l’été et d’« éponge » pendant les fortes pluies. Enfin, l’intégration des pratiques agricoles en ville comme la micro-ferme urbaine de Lorient, ou la création de jardins partagés (10*) avec un objectif de réinsertion sociale comme « les zardins zabitants » à La Réunion offrent aux habitants des lieux de vie encourageant la biodiversité, l’alimentation locale et durable…
Faciliter l’accès aux soins
L’implantation de maisons de santé (11*) est essentielle pour faciliter l’accès aux soins des habitants du quartier.
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